Publié dans Société

Contrefaçon fiduciaire - Détention de faux billets par deux marchands de boeufs 

Publié le dimanche, 29 janvier 2023

Le 27 janvier dernier, la Police a arrêté deux hommes pour contrefaçon fiduciaire à Manakara. Les suspects étaient en possession de fausses coupures de banque d'une valeur de 1, 6 million d’ariary. Ils ont été démasqués à la suite d'une plainte formulée par des vendeurs de bovidés pour perception de faux billets. Du coup, les Forces de l'ordre s'étaient dépêchées sur place pour enquête. Elles ont appris des bribes à propos des agissements des deux suspects.

Effectivement, ces derniers avaient bel et bien les fausses coupures de banque sur eux. Car lorsqu'on a ouvert le sac qu'ils transportaient, les liquidités y étaient rangées. Durant l'enquête, les deux larrons ont expliqué s'être procuré de ces faux billets lors d'une transaction de boeufs à Ihosy. L’enquête se poursuit.

 

F.R.

 

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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